Un air plus pur dans les environs

Un air plus sain pour toutes celles et ceux qui vivent ou travaillent près de l’aéroport : c’est notre priorité. Les avions émettent des particules ultrafines et des oxydes d’azote (NOx) durant toutes les phases d'un vol - du roulage et décollage jusqu’à l'atterrissage. Le trafic routier autour de l’aéroport contribue également à ces nuisances. Depuis 1996, l'Agence flamande de l'environnement (VMM) surveille la qualité de l’air à l’aéroport et dans ses alentours. Cependant, mesurer ne suffit pas. Nous passons à l’action pour réduire les émissions et améliorer la qualité de l’air. Envie d’en savoir plus ? Découvrez toutes nos initiatives ci-dessous.  

5 initiatives concrètes pour un air plus pur

Brussels Airport Company est déjà neutre en carbone. Nous réduisons nos émissions au maximum et compensons celles qui subsistent. Mais nous allons plus loin : notre objectif est d’éliminer totalement les émissions de CO₂ provenant de nos activités propres.  

Comment ? Grâce à l’installation de systèmes de chauffage et de climatisation sans énergie fossile, à l’utilisation de véhicules électriques, ou encoore à l’augmentation d’énergie 100 % renouvelable, notamment grâce aux panneaux photovoltaïques. Une transition pas à pas, vers le Net Zero Carbon d’ici 2030. 

Sur le tarmac, l’activité est intense : remorquage d’avions, chargement des bagages et du fret, ravitaillement... Autant d’opérations qui génèrent des émissions. Avec nos partenaires, nous testons des alternatives durables : carburants plus propres, équipements électriques ou encore à hydrogène. Notre objectif ? 80 % du matériel au sol sans émissions d’ici 2030. Un vrai plus pour l’environnement mais aussi pour celles et ceux qui y travaillent. 

Moins de bruit, moins d’émissions : c’est aussi possible grâce à de nouvelles techniques d’atterrissage. En étroite collaboration avec skeyes et plusieurs compagnies aériennes, nous recherchons de nouvelles techniques, les testons et les mettons en œuvre.

Nous favorisons l’arrivée d’avions plus silencieux et plus économes en carburant. Comment ? En adaptant les tarifs : plus un appareil est propre, moins les redevances sont élevées. Depuis 2023, les avions les moins performants paient jusqu’à 20 fois plus. Nous ne nous arrêtons pas au bruit, les émissions de NOx sont également prises en compte. Les compagnies sont ainsi incitées à moderniser leur flotte.

La plupart de nos véhicules roulent déjà au gaz naturel (CNG), et depuis 2019, des bus électriques transportent nos passagers jusqu’à leur avion. D’ici fin 2025, toute notre flotte passera à l’électrique.