L'amélioration de l'infrastructure cyclable autour de l'aéroport est une étape cruciale dans nos ambitions durables. Brussels Airport encourage ses employés et sa communauté aéroportuaire à prendre le vélo et à contribuer à une mobilité plus verte. Avec l'introduction d'une autoroute cyclable, d'un pont cyclable au-dessus de l'autoroute et de parkings pour vélos avec des bornes de recharge, nous offrons déjà un accès plus facile à l'aéroport. Et nous sommes prêts à étendre encore plus le réseau de pistes cyclables !
Bonjour Julien et Koen,
Merci pour votre temps et pour cette interview concernant des solutions alternatives de transport.
Koen: J'aime le sport en général et cela me permet de rester en bonne santé. Mon médecin m’a toujours dit que quand on fait beaucoup de vélo, on a une meilleure résistance aux maladies. Alors pourquoi ne viendrais-je pas à vélo au travail ? En plus, je suis plus rapide à vélo qu'en voiture.
Julien: Moi je prends le vélo parce que ça réduit le niveau de stress. Non seulement ça contribue à améliorer ma condition physique, mais ça m’aide aussi mentalement. Je commence et termine ma journée de travail de manière plus détendue.
Koen: Je suis tout à fait d'accord avec Julien. Ça me vide complètement la tête. Le week-end, je pars sur mon vélo de course et la sensation est tout simplement incroyable.
Koen: Comme j'ai un vélo électrique, je ne suis pas trempé de sueur. Ce que je veux dire, c'est que je n'ai pas de tenue spéciale pour faire du vélo. Nous avons des douches ici au bureau, donc je peux toujours me rafraîchir si nécessaire.
Julien: Moi, je n’ai pas de vélo électrique, donc mon entraînement est un peu plus intense. Mais ce n'est pas grave ! Je fais en sorte d'être visible et je porte toujours un casque pour ma sécurité.
Koen: La sécurité et la visibilité sont très importantes, et je suis heureux que l'infrastructure cycliste s'améliore autour de l'aéroport.
Koen : Pour moi, c'est simple. Je ne voulais plus être coincé dans les embouteillages. Je gagne du temps en allant au travail à vélo.
Julien : Oui, c’est vrai. J'habite à Zemst et je mets 24 minutes à vélo. En voiture, ça me prend 30 ou 40 minutes. Un collègue est venu en voiture ce matin et il lui a fallu 50 minutes depuis Zemst jusqu’ici.
Koen : Nous habitons tous les deux relativement proche de BRUcargo (la zone de fret de l'aéroport), mais ce n'est pas le cas pour tout le monde. Cependant, je recommanderais à d’autres collègues de prendre le train jusqu’à la gare la plus proche et d’y garer leur vélo. Si nous ne pensons pas à d'autres options de déplacement, les embouteillages ne feront qu'empirer.
Julien : J'ai un K-Way et un pantalon imperméable, donc je prends le vélo quand il pleut. Tout dépend de la situation, bien sûr. En hiver, je préfère prendre la voiture parce qu'il fait plus sombre et c'est plus dangereux en cas de neige, par exemple.
Koen : Je prends le vélo une semaine sur deux parce que j'ai une fille à emmener à l'école. Comme elle a aussi ses affaires scolaires, c'est plus facile d'utiliser la voiture à ce moment-là.
Julien : Chez Hazgo, nous avons un stationnement pour vélos couvert avec des caméras de surveillance. Nos vélos sont donc toujours en sécurité et au sec.
Koen : Il n'y a pas encore de points de recharge dans le parking à vélos, mais je peux la retirer et faire charger dans le dépôt.
Julien : Nous avons également une indemnité pour l’utilisation du vélo, ce qui est une motivation supplémentaire pour moi. D'une manière générale, je pense que ça évolue dans la bonne direction et je suis curieux de voir l'infrastructure cyclable à venir ici chez BRUcargo.
C'est ça l'esprit ! Motivons encore plus de collègues à suivre votre exemple.